Six hommes sont alignés sur des poteaux verticaux, mais la photo est prise en contre-plongée et légèrement de biais, donnant l’illusion qu’ils penchent tous en avant. Leurs corps suivent une même inclinaison, comme figés dans un élan commun. Derrière eux, une rangée d’arbres renforce cette illusion de déséquilibre.

Vue aérienne de la construction mouvante de la transumante, constituée de 400 carrelets de bois de 3 mètres de long. L'entrelacement des bouts de bois permet de construire une structure qui tient seule, et qui se forme au gré des manipulations.

Un homme torse nu, coiffé d’une couronne ou coiffe dorée, lève son bras gauche vers le ciel sur une scène baignée de lumières colorées. Son expression est intense. Deux autres hommes sont visibles sur scène en arrière plan, l’un à droite avec un regard surpris.

Sur la scène 3 personnages avec des costumes tachés de couleurs pop, devant une toile de fond coloré rouge, blanc, bleu, jaune.Ils levant le bras avec la poignée fermée et ils sont avec un air etonné 

Dans un hangar, il y a quatre hommes en ligne. De gauche à droite, deux hommes sont assis, le premier tient une clarinette, le deuxième un accordéon. Puis un homme est debout, en costume et gilet beige, les mains dans les poches. Le quatrième homme est debout derrière un marimba.

Un dessin en style rétro illustre une femme et un garçon, debout côte à côte. La femme porte une robe sans manches à motifs et une perle au cou. Le garçon sourit timidement. Les deux regardent en face d'eux. En haut à droite, on lit « REKORD » en lettres majuscules jaunes et verts, accompagné de lettres arabes verts.

Vue plongeante sur un groupe de danseurs étendus au sol, chacun dissimulé sous une immense jupe circulaire aux couleurs éclatantes : vert vif, orange brûlé, bleu profond, jaune moutarde, motifs fleuris. Seuls leurs bras ou jambes dépassent, créant un motif vivant de pétales humains. L’ensemble compose un tableau vibrant et graphique, entre chorégraphie et fresque abstraite.

Photo en noir et blanc présentant cinq interprètes alignés tenant fermement un long tronc de bois et sautant en rythme, leurs corps projetés vers l’avant dans une énergie commune. Leurs visages rieurs traduisent l’effort partagé et la complicité. En arrière-plan, un public assis observe, certains souriant. La scène, en extérieur, dégage un mélange de jeu, de force et de fête.

Sur scène, un groupe de danseurs figés dans la même position : visage et buste de face et jambes de profil, tous les danseurs effectuent le même saut. Bras gauche tendu à l'horizontal, bras droit en angle droit. Jambe droite repliée ou tendue vers l'avant, jambe gauche verticale en apesanteur. Chaque danseur, femme ou homme, a le visage face au public.

Sur fond noir, 13 jeunes gens (filles et garçons à parité) prennent une pose théâtrale. A l’extrême gauche du plateau, une jeune fille de dos est agenouillée devant un jeune homme comme dans une prière, ses bras levés masquent le visage du garçon. A ses côtés, une jeune fille se tient derrière une autre et semble tenir une couronne au-dessus de sa tête. Au centre du plateau, un jeune homme déclame une scène tragique, de profil, un bras tendu vers le haut, derrière lui, on devine une silhouette qui l'enlace et dont on ne voit qu'un bras. Tous sont tournés vers un jeune homme qui regarde le public, A la gauche de celui-ci, se tient un autre groupe de jeunes. Il y a une jeune fille tournée vers lui avec les bras tendus et derrière elle agenouillée, une personne lui tient les hanches. Enfin en suivant, à la droite du plateau, deux jeunes filles regardent le public et il y a derrière chacune deux personnes que l'on devine et qui tiennent leurs mains croisées au-dessus de leur tête.

Sur un fond noir, deux personnes vêtues d'un pantalon noir et d'une chemise blanche. À droite, un homme de profil, assis à un piano sur lequel est posé une lampe de bureau allumée. À sa gauche, une femme cheveux courts lui tient la main en lui faisant face. Elle est debout, sa main droite dans la poche de son pantalon.

Sous une lumière chaude et dorée, deux femmes sont face à face, penchées l'une vers l'autre, assises sur des chaises basses. Deux bouteilles de bière sont posées sur une table basse posée devant elles. La femme à gauche a des tresses longues et une robe bleue, elle parle avec passion, mains tendues. La femme à droite, cheveux bouclés courts et haut blanc, l’écoute intensément.

Au milieu d’un champ d’herbes hautes baignées de soleil, une acrobate se tient en équilibre sur une longue perche dressée vers le ciel. Son buste nu contraste avec une longue jupe bleue qui descend le long du mât. Elle s’agrippe d’une main au sommet, suspendue dans l’espace clair et vaste, tandis que les tiges et épis de blé encadrent la scène avec douceur et légèreté.

Au premier plan, un homme debout tourne le dos au public. Il est vêtu d'une chemise manches retroussées sur un T-shirt et d'un pantalon noir. En arrière plan, les gradins d'un théâtre remplis de spectateurs assis.

Un groupe de huit personnes, habillées de manteaux sombres et de costumes sobres, se tient serré dans l’obscurité. Chacun porte une lanterne ou une lampe qui éclaire leurs visages depuis le bas, créant une atmosphère de mystère et de tension. Les regards, graves et concentrés, sont tournés vers le ciel, comme surpris ou en attente d’un événement invisible.

Un homme vêtu de noir est assis au sol, les yeux fermés, bras droit posé sur son genou, la main appuyée sur sa tête. Sa tête est couverte d'un bonnet sur lequel est posée une fine branche de bois en équilibre. Face à lui, des bonshommes créés par la superposition de pierres de différentes tailles ; trois personnages qui eux aussi ont une brindille en équilibre sur leur tête.

Sur un fond noir se détache un personnage en apesanteur vêtu d'une combinaison et d'un casque d'astronaute. le casque est éclairé de plusieurs lampes à l'intérieur illuminant ainsi le visage du personnage.

À gauche, assis derrière une table, un homme est vêtu d'un polo marron. Il parle s'accompagnant de gestes avec ses mains. En fond de scène, une pyramide de boîtes colorées de thés et infusions est installée sur une autre table.

Au centre de la photo : une dizaine de personnes se tiennent en ligne côte à côte et de dos, elles regardent l'horizon et l'océan devant elles. Au premier plan, le sable de la plage. Au dessus, un grand ciel bleu mais nuageux. Tous les personnages sont habillés d'un costume tailleur et portent une valise avec leur main droite.

Un groupe d’acrobates forme une ligne impressionnante sous un ciel nuageux. En duo, certains portent un partenaire debout sur leurs épaules, tandis que d’autres restent au sol, alignés. Tous sont vêtus de noir, créant une unité visuelle sobre et puissante. Les postures sont stables, les visages concentrés, donnant à la scène une intensité calme et majestueuse.

Portrait de Waly Dia en gros plan, les yeux fermés, visage serein tourné vers la lumière. Sa peau est recouverte de textes et de symboles comme des tatouages. Les mots, citations d'hommes politiques français, couvrent son front, ses joues et son cou.

Au premier plan, 3 hommes sont en l'air, le corps à l'horizontal en planche,  à l'arrière plan, trois autres hommes se tiennent debout sur une installation composée de plusieurs trampolines à la toile blanche. Les six hommes sont habillés dans les tons bleu-vert.

Portrait de Tanguy Pastureau, cheveux bruns courts et vêtu d'un pull à col rond bordeaux.

Au premier plan, au milieu d’une route de campagne déserte bordée de champs au ton jaune orangé, se tient un personnage. Il est la tête en bas enfoncée dans un petit cube carré noir, bras et jambes sont écartés, dans une position acrobatique. Il est habillé d’un costume gris et chaussé de bottes en plastique gris. 

Un homme dans un cube ouvert sur un côté. Au centre de cette structure, un ensemble de cube transparent les uns sur les autre à travers lesquelles, la lumière passe et permet de découvrir différents ombres sur le cube. ce sont ombres qui ont différentes formes et différentes couleurs.

Au premier plan, une rangée de livres par terre, certains sont empilés. Derrière les livres, deux comédiens sont allongés, seules les têtes dépassent, avec des expressions clownesques

Quatre femmes vêtues d'un tee-shirt blanc et de bottines noires se tiennent debout, en ligne, le visage et le regard en l'air, les jambes écartées et croisées, les bras tendus en avant avec les mains l'une sur l'autre en forme de croix, paumes vers le plafond. Un tapis de danse de couleur noire et trois bandes de tissu blanc jonchent le sol à l'horizontal.  

Deux femmes sont sur cette image. L'une pliée en deux sur ses deux jambes et bras tendus, l'autre est en équilibre sur ses mains, bras tendus, le bas de son corps dans les airs, reposant sur sa partenaire. Elles sont pieds nus, sur un tapis en fourrure multicolore.

Sur scène, quatre danseur habillé de pantalons de ville clair, de t-shirts ou de chemises, se font face. Il sont Prs dans le même mouvement, bras en l'air, pied gauche au sol et pied droit jeté en arrière. Sur le mur du fond, une projection vidéo d'horloge, de montres et d'engrenages d'horlogerie dans le tons ocres.

Portrait de Florence Mendez. Cheveux bruns ondulés coupés au carré retenus par un bandeau rouge et blanc. Elle porte un blouson de cuir noir et une batte de baseball.

En bas, à droite, écrit en grosses lettres majuscules blanches, le titre « Le Messie ». Sur la gauche, en bas, différents fils blancs forment un nœud. Ils s’élancent vers tout le haut de l’image en formant un canevas simple et épuré. Le fond de l’image est bleu sombre.

Sur scène, une femme avec une frange, des cheveux châtains attachés partiellement avec un petit chignon haut. Elle porte un jean bleu délavé et un blouson en tricot noir avec un col haut, fermé par une fermeture éclair argentéeée. Presque de face, elle est debout, ses mains posées à plat sur les cuisses. Elle a la tête un peu relevée.

Description: Affiche en noir et blanc. En gros plan, un homme torse nu, cheveux en bataille, fixe l’objectif. À l’arrière-plan flou, des croix blanches suggèrent un cimetière. En haut, le nom « Yannick Jaulin ». À gauche, le titre jaune : « J’ai pas fermé l’œil de la nuit ».

Sur scène, trois danseurs habillés dans des camaïeux de beige et brun. Ils sont pieds nus et sont en équilibre les uns avec les autres.

Sur la photo, un torse féminin nu occupe le premier plan, peint de lettres colorées formant le mot « PAPILLONS », avec les deux tétons recouverts de doré et intégrés au dessin. Dessous, on peut lire « un spectacle HOPE PUNK », écrit à la main. En arrière-plan, une enfant de profil, en pull sombre à bordures rouges, trace des lignes sur une vitre avec un feutre, baignée d’une lumière naturelle diffuse.

Sur un fond noir, une femme tient dans ses mains un voile de mariée posé sur sa tête et qui recouvre son visage. Elle porte un haut à manches courtes et un foulard noué autour de son cou. Son regard se perd dans le lointain. 

Sur scène, trois danseurs éclairés dans la pénombre. En fond de scène, de grands tableaux posés au sol sont couverts de dessins dans des tons de gris. Au premier plan, une danseuse vêtue d'une jupe blanche et d'une brassière couleur peau est debout, jambe droite en avant et haut du corps penché en arrière. À ses côtés, deux danseurs, sont en contact avec le sol, l'un assis et penché de profil, bras droit tendu vers le haut, l'autre, mains posées au sol, a une jambe en l'air et le buste penché en avant. Ils sont vêtus dans le même style que l'autre danseuse.

Photo d'un bord de mer. Au pied d'une vague, sur le sable, une balle rouge sur laquelle est dessiné un visage très simple avec deux yeux et un sourire.

Sept personnes, debout, sont réparties sur une scène, entourées de centaines d’oranges éparpillées sur le sol blanc. Les artistes, femmes et hommes, vêtus de pantalons amples, jupes, hauts sans manches, sont figés bras gauche tendu, visage tourné vers le bras. L’arrière-plan sombre accentue le contraste avec les teintes vives des oranges. En arrière plan, quelques spectateurs sont visibles autour de la scène.

Au premier plan, éclairé, un homme vêtu d'une chemise bleue, est accroupi les bras tendus devant lui. À l'arrière plan, un autre homme musicien, dans la pénombre, est assis et joue du handpan.

Sur une scène encombrée de divers mobiliers (chaises, portant de vêtements, table), quatre comédiens occupent le premier plan. À gauche, la comédienne, vêtue d'un jean et d'un Tshirt bleu marine, est assise sur une balançoire. Au milieu, un personnage de dos, chaussé de bottines rouges à talons, vêtu d'un pantalon gris et d'un pull bleu, porte un tutu orange autour du cou. À ses côtés, un personnage porte un masque aux cheveux bleus et un manteau en fausse fourrure rehaussé de touches bleu, jaune et rouge sur un pantalon et un pull gris. À droite, une comédienne parle dans un micro. Elle porte un pantalon beige, un pull bleu recouvert d'un blouson à longs poils gris et blancs et un chapeau également à poils longs.

Une silhouette féminine avance pieds nus dans un sous‑bois baigné d’une lumière dorée. Sa robe légère et transparente flotte derrière elle, captant le soleil qui filtre à travers les arbres. Les plantes autour sont baignées de reflets verts et jaunes, créant une atmosphère onirique et douce, presque dansée.

De gauche à droite, apparaissent sur un fond noir les visages des trois interprètes : la pianiste Anne-Lise Gastaldi, le comédien Didier Sandre et la seconde pianiste Valentina Igoshina.   

 Un homme est assis, les mains croisées sur une table. Il porte une chemise blanche, une cravate beige à motifs, un pantalon sombre et des bottes en plastique blanches. Sur la table, sont disposés, de gauche à droite, un casque de chantier blanc, un tissus rouge une carafe d’eau en verre d’eau à moitié remplie, un verre à pied à moitié rempli aussi, et deux oeufs dans deux boites à oeufs, un oeuf décoré en poule et un coquetier.

Sur fond noir, un personnage en extension au-dessus du sol. Il a les cheveux longs, a les pieds nus, est vêtu de noir et porte une blouse bleue. Il regarde vers le bas, les bras tendus vers les objets disposés au sol dont ses chaussures.

Une jeune femme en short de boxe doré et blouson noir avec des motifs de fleurs colorées. Elle porte des gants de boxe bleus et lève les bras en l’air. A l’arrière-plan, un fond noir et des chaises et des bancs disposés autour de l’espace de jeu.

Au premier plan, deux marionnettes en bois sont installées chacune d'un côté d'un cerisier en fleurs. A gauche, la marionnette d'un jeune garçon habillé en costume japonais dans les tons bleus. A droite, la marionnette d'une jeune fille habillée en costume japonais dans les tons rouges. 

Au premier plan, trois enfants assis confortablement sur un canapé les yeux fermés. Ils portent chacun un casque audio lumineux sur les oreilles. Derrière eux, un mur bleu avec des dessins accrochés. En arrière-plan, une femme assise à un bureau avec du matériel son devant elle et un micro. 

Sous une lumière rose vif, deux visages de danseurs de profil. Au premier plan à droite, le visage de la danseuse tourné vers la gauche, son bras droit tendu dans le même mouvement. Sa main tient le menton du danseur, au deuxième plan, tourné également vers la gauche, son visage encadré par de nombreuses tresses.

Sur cette photo, deux personnes sont face à face. D'un côté il y a un homme avec des cheveux court, des boucles d'oreilles, une robe bleu et une perruque à la main. De l'autre, on voit une femme avec une robe rose à paillette et des froufrous à ses extrémités.

Sur une photo en noir et blanc, enserrés entre deux hautes clôtures grillagées se rejoignant en arrière plan, trois artistes se tiennent debout, visage de face. À gauche et derrière, Youv Dee,appuyé contre le grillage, porte une chemise à carreaux. Au centre, Bastien Burger habillée d’un haut foncé est debout et à droite, au premier plan, Béatrice Dalle porte un haut foncé et arbore plusieurs tatouages visibles sur son bras gauche.

Sur scène, quatre personnes debout, les unes derrière les autres. Trois sont des marionnettes à taille humaine habillées en costumes d'époque fin XIXe siècle. La quatrième figure, située à droite, porte une grande robe ornée de motifs et un masque d’oiseau blanc qui couvre toute la tête de la comédienne.

Dans une salle de plain-pied plongée dans la pénombre, les spectateurs, assis sur des chaises, casques audio sur les oreilles, encerclent les trois acteurs en lumière. Assis autour d'une petite table ronde figurant un studio de radio, deux hommes et une femme, casque audio sur les oreilles parlent dans des micros monté sur des bras mécaniques.

Un danseur évolue seul sur scène, vêtu d’une chemise blanche boutonnée et d’un pantalon noir auquel est attaché un long manteau qui se déploie dans son mouvement. Son bras droit est plié près du buste, l’autre s’étend vers l’arrière, accentuant la dynamique de sa rotation. Le plateau nu et sombre met en valeur la pureté de sa silhouette et la fluidité de son geste.

Au centre de la scène, une femme de dos, vêtue d'une robe blanche à crinoline. Ses cheveux blonds sont attachés en chignon natté. Elle penètre dans une grande pièce éclairée par des lustres, entre deux pans de rideaux translucide.

Une scène, parsemé de troncs d'arbres verticaux, avec en son centre un gros tas de raphia.   Au premier plan à droite, un homme uniquement vêtu d'un pagne en raphia. Il tient incliné un long morceau de bois rond entre ses deux mains. A l'arrière-plan, un deuxième homme est en train de faire un salto arrière. Torse-nu, il porte un jean clair et ses longues tresses se déploient autour de sa tête.

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